1er mai 2012

3 catégories de Français dont 2 de salariés

 

On peut classer les Français en 3 catégories facilement identifiables à partir de l’origine de leurs revenus. Il existe une véritable fracture sociale entre les 2 catégories de salariés,  ceux du Public et ceux du Privé : Ils ne bénéficient pas du même Statut Social dans la Société Française.

 

Lexique – Avertissement :

Nous avons vu que l’on pouvait ranger les Français en 3 catégories facilement identifiables. Par souci de simplification, nous désignerons dans la suite, chacune de ces catégories par les  mots ou expressions suivantes :

  • Privé, ou salarié du Privé
  • Public, ou salarié du Public, ou Fonctionnaire
  • Non salariés

On retrouvera les définitions  complètes de chaque catégorie, ainsi que les justifications de ces appellations simplifiées à l’adresse suivante :

http://abolitiondesprivileges2012.fr/index.php/la-societe-francaise?id=95

 

Nous supposons aussi que tout Français vivant  aujourd’hui, a conscience qu’il paie et paiera des impôts, taxes, charges sociales,  prélèvements obligatoires, et autres amusements. Pour celui qui ignorerait cette triste réalité, voir : http://abolitiondesprivileges2012.fr/index.php/la-societe-francaise?id=96

 

Le lecteur est invité à ne jamais perdre de vue que ce sont les 2 catégories : Privé, et Non salariés, qui financent les salaires, retraites, et autres privilèges du Public, par leurs impôts. C’est pour cette raison que nous les désignerons, ensemble, par « les autres » ou « les autres Français », dans certains cas ne prêtant pas à confusion. Cette  distinction entre le « salarié du Public » et « les autres Français» est le reflet exact de la différence du  « statut » octroyé à chaque Français. Le lecteur  devrait comprendre facilement  quelle est sa place, son utilité,  dans la Société française actuelle. Surtout s’il est un « salarié du Privé »….

 

Nous avons aussi déjà expliqué pourquoi nous avons réduit le champ de notre étude aux inégalités entre  les 2 catégories de salariés : parce qu’elles sont plus faciles à mettre en évidence et  répondent bien à la définition de « privilèges », que les «inégalités», que certains ne manquent pas de montrer du doigt, par exemple entre « les riches » et « les pauvres ».Il s’agit d’amener le lecteur à se poser la question : Mais qu’est-ce qui justifie de telles inégalités entre 2 catégories de Français qui ont un point commun fondamental : vivre de leur salaire ?

 

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